Contes et légendes

LE MAITRE ET LES DEUX OUVRIERS.

Un maître avait deux ouvriers :

L’un grand travailleur fort habile,

L’autre maladroit et débile,

Rebus de tous les ateliers,

Honnête cependant et père de famille.

Le maître en l’employant consultait son bon coeur ;

Lui-même il avait une fille,

Et voulait lui porter bonheur.

Le premier recevait un honnête salaire

Convenu, bien payé, mais se fâchait pourtant

De voir l’autre gagner autant.

Si bien qu’il vint tout en colère

Se plaindre au maître un jour. Le maître a répondu :

- Je te donne ce qui t’est dû,

Et j’ajoute pour ton confrère

Ce que je lui crois nécessaire.

Mon argent est à moi, ne puis-je en faire don

A qui me plaît ? Sois fier d’être le plus robuste.

La loi m’ordonne d’être juste,

M’est-il défendu d’être bon ?

La justice a droit d’être chiche :

Devoir, c’est ne plus posséder.

Mais à l’élan du coeur il est doux de céder,

Et c’est pour donner qu’on est riche.

Le Loup et le Hiboux.

Un loup célibataire

Crut entendre un écho gémir au fond d’un bois.

« Parricide, criait la voix,

Qu’as-tu fait du sang de ton père ? »

Il songea que son père, étant près de mourir,

S’était saigné pour le nourrir ;

Le remords s’empara du rêveur solitaire.

Chez le hiboux il s’en alla,

Et de ses chagrins lui parla.

Le hiboux est, dit-on, l’oiseau de la famille :

Au verger son nid porte bonheur ;

Elle attire au foyer qui brille

La connaissance et la force du coeur.

Elle dit doucement : - Loup, mon compère,

Prends une compagne, il est temps.

Débiteur du sang de ton père,

Tu dois le rendre à tes enfants.

S’il n’est un sacrifice héroïque et sublime,

Le célibat devient un crime.

Les soins de nos parents sont leur âme et leur sang,

Que sur nos premiers jours le ciel fit se répandre ;

A d’autres nous devons les rendre.

C’est un devoir sacré qu’on accepte en naissant.

Un texte pour les nashkis :

L’ENFANT ET LE CRAPAUD.

Un jeune et bel enfant jouait dans la prairie ;

Tout à coup, dans l’herbe fleurie,

Il distingue un objet qui bondit lourdement.

Horreur ! c’est un crapaud ! Voilà mon garnement

Qui, sans savoir pourquoi, s’enflamme de furie :

Il saisit une pierre et manque l’animal.

- Je ne t’ai jamais fait de mal,

Lui dit d’un ton de doléance

Le pauvre monstre sans défense.

Je suis le destructeur des insectes impurs,

Fléaux de ta récolte et de tes raisins mûrs.

Les crapauds, poursuivis par des haines cruelles,

Devraient être sacrés comme les hirondelles.

Enfant, au nom de ta beauté

Et des caresses de ta mère,

Ne jette pas une autre pierre,

Et du ciel qui t’a fait imite la bonté.

L’enfant était léger, mais son âme était tendre,

Il ne savait quel parti prendre.

Pauvre crapaud, dit-il. – N’importe, il est affreux,

Puis on dit qu’il est venimeux.

J’en ai pitié, tuons-le vite.

Puis, les larmes aux yeux, il meurtrit cependant

Le triste animal, qui palpite

Et qui meurt en le regardant.

Souvent la crédule innocence

Est cruelle en frappant ce qui choque ses yeux,

Et les crimes les plus nombreux

Sont les crimes de l’ignorance.

alors les trois premiers textes, ce sont des textes que j'ai largement repris et fait quelques modifs (voir pas du tout).
A cours de textes, je me suis mis à en faire moi-même, donc celui qu isuit est 100% de moi :

L'Union

Par un temps plein de lumière,

Sarokha la Déesse Mère

Se promenait dans la forêt

Et soudain fit un arrêt.

Sur son chemin, un slaad géant s’imposa

Et sans tarder la frappa.

Mais la beauté savait esquiver

Et le coup passa à côté.

La Déesse avait la connaissance

Et savait par où le détruire.

Le coup partit avec prestance

Mais le slaad la regarda avec sourire.

Alors chez Ghornag elle se rendit

Et de la situation il en rit.

Par ces mots il partit au combat :

« Avec une bonne hache on se bat

Et ainsi on se débarrasse de l’ennemi ».

Un slaad Ghornag vit

Et dans son élan la hache fendit

Seul l’air la sentit.

A la riposte la Force esquiva

La fin n’étais pas là.

De nombreuse guerre a connu le Dieu

De nombreux ennemis ont vu ses yeux

Mais pourtant il partit de là

Et quérir Koshkun s’en alla.

Du Malin sortit la moquerie

Qui à Ghornag par un paris

Lui annonça sa victoire.

Il partit donc le soir,

Sans arme, il arriva a destination

Sur place avec improvisation

Il prit de petites branches

Qu’il lança sur la hanche

Tout en tournant autour de lui

Pour perturber l’ennemi.

Le slaad fut tout sourire

Et avait connu pire.

Le slaad tourna puis tourna sur lui

Et au lieu de prendre plus petit

Le Dieu saisit un tronc.

Mais le slaad qui était malin au fond

S’en saisit pour le renvoyer

Mais le chaos savait esquiver.

Déçu de la défaite,

Le Chaos ne fit de fête.

De la situation peu glorieuse

Et surtout honteuse

Il en raconta alors

A son ami Rasgor.

Par un cri il alla voir le slaad

Pour le manger en salade.

La Bestialité entra dans une fureur

Mais le slaad n’eut peur

Et s’écarta à chaque coup

Que le Dieu lui fout.

La riposte fut sans pitié,

Mais par joie, la bestialité

Savait esquiver parfaitement.

Rasgor partit honteusement.

Khelnor eu a ses oreilles la situation

Après avoir entendu chaque conversation.

L’Invinsible se rendit dans la forêt

Prêt du slaad fit son arrêt.

Il frappa son adversaire

Jusqu’à se retrouver à terre,

Car la fatigue le gagna.

Alors le slaad riposta

Mais la Bravoure esquiva

Et non vaincu s’avoua.

Il partit cependant

Et serré etaient ses dents.

Les cinqs Dieux fatigués

Partit quérir le dernier.

Otharn leur répondit sur ces mots :

« Je sais comment vaincre vos maux

Mais cette solution réside en vous. »

Ils le regardèrent comme fou

Et ils répliquèrent alors :

« Mais on est tous fort

Et pourtant qu’échecs frustrants

Nous avons tous eu pourtant. »

La Vérité s’expliqua :

« Vous êtes tous battu sans honte

Mais seule la solitude vous compte.

L’ennemi est commun

Pourquoi ne pas joindre vos mains ? »

Sur ces mots, tous les Dieux se retrouvèrent

Et prêt du slaad chacun racontèrent

Sa façon d’être victorieux.

Rasgor savait sortir la puissance en eux.

Sarokha savait où le frapper.

Ghornag savait fortement taper.

Koshkun savait mettre le chaos.

Khelnor avait la bravour du héros.

Et Otharn savait que l’avenir

De tous est de s’unir.

Alors tous les six Dieux

Sous le même feu,

Brûlèrent le cadavre de l’ennemi

Qui fut terrassé sans préavis.

Sachez que seul et même puissant

On ne peut vaincre malheureusement.

Alors que si tous en s’unissant

La marée verte écrase facilement.

C'est Conte et légendes, et pas Comptes et légendes ^^

sinon c'est super bien Baslor Razz

c'est ce que j'ai ecrit vieux croulant !! lol!

OK, c'est mon dernier message, sinon on va dire que je flood ^^

petit mesquin va ... tu va voir ....

tiens je viens de trouver une perle ... va voir [url=Intendance-f6/Equipement-f15/stockage-p55.htm#55/url]là !![/url] Razz

J'aime beuacoup celui du loup et du hibou et la fable sur l'union!

Bravo encore

Arkhon

Pour revenir à la situation non-flood ^^ moi j'aime bien celle que tu a écrite Smile

si on pouvait le publier sur le fofo d'IDEO, sa le ferais bien Razz

merci oui. Avec ce que l'on veut faire des Sarokha, je verrais bien mettre ce texte dans la description pour montrer qu'on a besoin de tous, donc qu'on accepte toute croyance .... (orc si possible:D )

j'ai envoyé tous mes textes a MJ 124.